On mettait des réveils entre chaque impression pour ne pas perdre de temps », se rappelle Fabrice Goetghebeur, le président de l’association.
Dorénavant, il est possible de trouver des masques un peu partout alors l’association a mis fin à sa production.
Mais, en cas de deuxième vague, elle est prête à redémarrer.
« Nous pouvons repartir si besoin, mais, pour le moment, on crée un stock », lance Dominique Derudder, le vice-président.
Une pierre à l’édifice que tous les organismes concernés n’oublieront pas.